Mal Nécessaire

Bon, il fallait que je le fasse.

JE ME PLAINS DE CETTE CHALEUR DE MARDEEEEE!

Aucune hyperbole n'est assez éloquente pour illustrer à quel point mon (notre) appartement est un véritable four, aucune métaphore assez forte pour démontrer que l'entière totalité de ma peau est submergée de sueur en permanence.

Contrairement aux autres, je n'ai pas de problème de plomberie mais bien d'aération, en raison de la disposition linéaire des fenêtres de mon lieu de résidence.

MAIS QU'À CELA NE TIENNE! J'ai appelé le concierge et il viendra en creuser une nouvelle demain.

Aurevoir, moi!

Sherbrooke m'aspire!

Annonce officielle: La Libertine s'assagit dangereusement et n'a malheureusement aucune histoire de brosse, de drogue, de sexe ou de rock'n'roll pour vous.

MAIS QU'À CELA NE TIENNE! Faute avouée est à moitié pardonnée, non? Elle redoublera donc d'efforts pour que ses tuyaux bouchent et que ses lèvres en recontrent d'autres.

Annonce moins officielle: We Are Wolves se présente dans le ville du vice le 24 septembre. Attention, veille de claviéristes attirants dans la région de la Wellington Nord pour cette date!

Three cheers for Mcgill: Fuck! Fuck! Fuck!

À McGill, les Frosh battent leur plein, et qui dit Frosh, dit activités grandioses avec entre autres, une croisière amusante sur le Saint-Laurent au clair de lune, malheureusement, chers lecteurs, pour s'adonner à de telles activités il faut être capable d'utiliser de façon correcte les trottoirs et c'est là ou j'ai failli.

Il va sans dire que jouer à des jeux de consommation de boissons alcoolisés en remplaçant la bière par une autre à la dénomination plus russe n'a pas fait l'unanimité chez toutes les parties de mon corps. C'est donc avec surprise et j'imagine un peu d'effroi que les utilisateurs de véhicules sur la rue Sherbrooke ont dû éviter un quidam qui courait dans la rue en criant «I wanna die». Continuant sont chemin avec ses Froshes friends il entra dans un bar et se saisit d'une cloche à gâteau, c'est à ce moment que les Froshers (responsables des froshes) ont agi et dans le bien de tous lui ont fait déposer les armes.

Par la suite, le tout est devenu plus culturel et on a eu droit à une danse autour d'un lampadaire avec le début du spectacle son et bouilli beige. Quelques âmes généreuses auraient alors pris sur eu de le nettoyer avec des commentaires éloquents tels que :

- I think he had Tostitos.

Après maints vomissements, qui se poursuivront tout au long de la soirée, certains spectateurs enthousiastes décidèrent qu'il fallait immortaliser numériquement le moment ce qui donna une occasion en or à la Frosh leader de montrer tout son dévouement.

Georgia: You'r not gonna take a picture.

Paparazzi: I wont, if you show me your tits.

Georgia: No, but I can show my butt.

Paparazzi: That's a deal.

Une photographie plus tard on le mis dans un taxi près pour de nouvelles aventures seul et sans clé pour entrer dans son appartement... suspense.

* * *

Citations

Ted (who is giving a lecture call untangling the grade): The first day of school just take a bat and swing it around.

Le citadin ( parlant à une fille du Singapour): You don't like poutine but have you taste it with raped cheese?

A Frosh leader (Complètement saoule à 4h de l'après midi et un peu frustrée que je ne veuille pas changé de groupe pour être avec les sexy qui sont, selon ses dires, comme elle et moi): (En criant) Eh girls don't fuck with him you'll get chlamydia.

Le citadin

P.s. McGill once! McGill twice! Holy fucking Jesus Christ!

Anecdote Plombière

Anecdote sémio-intéressante du jour:

Aujourd'hui, alors que je lisais tranquillement au soleil devant le wannabe Epcot de l'île St-Hélène (quelqu'un sait elle sert à quoi aujourd'hui cette sphère métalique?), mon super concierge est venu déboucher le bain à l'appartement.

Maintenant, le bain s'écoule rapidement; sauf qu'il coule en totalité sur la tête du pauvre mec de l'appartement d'en dessous...

Morale de l'histoire: Si vous voulez vous faire des ennemis: venez prendre une douche chez moi.

Le Capitaine

Plaintes et excursion.

Ah! Joie, allégresse et trésor de bien-être. Je vous écris présentement ces lignes du haut de la rue Laurier ou moi-même et Frette jouissons présentement de notre bonheur solitaire. Devant moi, l'élégante porte en bois qui me permettrait de m'enfuir advenant l'intrusion d'un inopportun, me fait des clins d'oeil coquins avec sa serrure qui ne s'ouvre qu'avec une clé qui elle même se permet de ne pas me connaître personnellement. Par ailleurs, les touches 9 et 1 de mon téléphone pour lesquelles je serais dans les meilleures dispositions dans le cas d'un problème d'irruption domicilier se laissent désirer étant donnée la non présence malheureuse d'un téléphone dans mon habitation.

Trêve de bavardage, allons droit au but, today se déroulait la journée Discover Mcgill. Pour commencer la journée, une bande de chanteurs Soul A capella nous accueillait joyeusement. Pendant que je prenais place entre une minorité ethnique, et un jeune homme à l'accent français, l'hôtesse nous accueillit. (Bla Bla Bla) Et voila Jacques (Jack) Layton! Ah! Mélancolie, souvenir, tout a tellement changé depuis ses jeunes années! Puis, comme l'écrivit si bien sur son cellulaire Lexi (Pseudonyme) «Mdr Jack Layton nous fait un speech politique» cette même Lexi qui avait écrit à son ami 10 min après le début du speech et des présentations « Mdr il ressemble à Jack Layton est-ce que tu pense que c'est lui?» Ah sacré Lexi.... Pendant tout cela j'ai eu une conversation avec Griffin (celui à l'accent Français)

...

Moi - Alors tu viens de France?

Griffin (Pas un pseudonyme) - Non de San Francisco.

Moi - Et tes parents sont français?

Griffin - Non, Américain.

Jack Layton - Le Canada à toujours été un pays de paix nous devons faire cesser la politique du gouvernement en matière d'utilisation des forces armée pour aidé au rétablissement et au maintient de la paix.

Griffin- Merde alors! Comme si le Canada avait du pouvoir sur la scène international.

Moi - Silence outrée

Moi- Silence pensif

Moi- Silence intéressé

Moi- Silence joyeux

Moi- Silence paisible

Etc.

Le Citadin

Random

Hourra, quel bonheur de tous pouvoir vous lire!

Étant donné que tout le monde élabore sur leur arrivée dans leurs patelins respectifs, je vais faire de même.

***

Mes débuts en tant que Fidéenne furent dignes du Capitaine. Ma première journée à l'appartement se déroulait à merveille - ménage, boîtes, petit spaghetti délicieux, vaisselle - quand j'ai soudain eu mon premier problème d'appartement. Voulant vider l'évier de ma cuisine et les tuyaux étant particulièrement bouchés, l'eau a simplement stagné dans le lavabo. Ni une ni deux, j'accouruss dans la salle de bain, m'emparai du siphon diabolique et commençai ma besogne d'étudiante en détresse. Diantre, quel désastre! Un magma noir à l'odeur fétide surgit alors du trou, m'aspergeant ainsi la figure de graines de toast putrides...

Finalement, mon coloc a simplement appelé la propriétaire et un concierge est passé une heure plus tard. 30 minutes après son arrivée, je pouvais enfin terminer ma vaisselle.

***

Sur une touche plus positive, j'adore Québec. Je suis allée magasiner à Place Laurier à pieds toute seule (sans me perdre), j'ai fait mon jogging dans les rues de Ste-Foy (sans me perdre), j'me suis baguenaudée toute la journée dans le Vieux-Québec (Tristan Entrepôt je t'aime), j'suis allée voir de l'impro (une équipe mauvaise et des malaises divins) et j'ai dansé jusqu'à 1h du matin. Merci Québec pour tes hommes suaves, leur cul tight et leur style charmeur.

***

Voilà. Bonne continuité à tous,

L'Anneau

La mort après la vie...

Bonjour tout le monde!

Voyant une certaine occasion pour lancer une tradition sur le blog, c'est-à-dire confier le déroulement de notre installation respective dans nos nouvelles vies, j'ai décidé de me jeter à l'eau -Péribonka- et de vous faire part de mes sentiments!

Tout d'abord, mon arrivée à downtown St-Félicien fut...disons le...mémorable! En effet, n'ayant point été à l'inscription, je me suis retrouvé dans une situation de vagabond. La chance, avec son air de boeuf, m'a plutôt jumelé, au casier, avec quelqu'un dont je n'ai pas d'affinité dans la vie! Je dirais même, que je trouve que c'est une shit! Donc, l'asso me servira de pose-bouquins! Le pire dans tout cela...c'est que j'ai retrouvé mes sciences nature adorés---> personnification et sarcasme!

Il n'y a pourtant pas que des points faibles à cette vie! Non, non, non! Mes classes sont tout de même agréables et je suis avec Laurenzo Voyer (une étudiante italienne du Venezuela) presque partout! Ça me fait penser: Bonne nouvelle! L'initiation des SLA sera trop chill...tsé...allo! Nous avons eu une bonne idée : trop thématique Harie Pauter (La libertine...t'en parle pas à ta soeur)!

Bref, on s'en reparle les jeunes...vous étiez la vie et maintenant, c'est la mort! (Laurenzo approuve...mais en italien)

Le Roux

Il y a un début à tout

Je vais commencer ce post par un remerciement à l'Anneau pour s'être débarrasser de l'ambiance de mort qui régnait sur ce blog!

Sur ce, à la demande générale: Oui, mon arriver à Montréal c'est bien passer. L'appartement est cool, les parents sont partis depuis quelques heures seulement donc je commence à peine à avoir l'impression d'être indépendant.

Hier soir, Le Citadin, La Libertine et moi avons trouvé un pub qui devrait faire l'affaire de tous les copains Voxeux. Vous savez donc où vous allez finir si vous venez dans mon coin!

C'est ce qui résume mon début de semaine jusqu'à présent.

See ya,

Le Capitaine

Quand la hargne côtoie la tristesse

Voici pour vous une magnifique, que dis-je, GRANDIOSE, citation de notre chère SLA hargneuse et fan de vampire.

- En faisant référence à son départ pour le cégep:

J'vais tellement m'ennuyer de mon monde et de mon chat...

P.S. Une petite pensée pour la Samouraï qui doit sûrement ressentir la même tristesse vu sa personnalité identique à la Hargneuse.

L'Anneau

Parfaite conclusion.

C'est en faisant le ménage de mes travaux de cégep (oui, je sais, il était plus que temps!) que je suis tombée sur ce petit bijou que la Libertine et moi avions si soigneusement composé lors d'un misérable cours de français.

Attention tout le monde, ceci n'a malheureusement rien à voir avec l'onomastique... Vous savez, l'onomastique...? L'art de donner un sens à des noms propres. Prenons par exemple Astérix. Hahaha, mais non. Je vous épargnerai cette douloureuse analyse.

Bon, pour en revenir à nos moutons, je vous transcris à l'instant un joyau littéraire faisant office de conclusion pour une dissertation.

"Pour tout dire, agonie, tristesse et souffrance accompagnent le futur défunt. L'analyse de cet écrit a permis de cerner l'essence du poème. Cette substantitfique moelle traduit les sentiments universels et laisse entrevoir le moment de notre mort comme."

Oui, ça finit sur "comme". Quel délice!

L'Anneau